Comment obtenir votre licence de parachutisme ?

Licence de parachutisme à Pujaut | Volomax

Vous vous demandez peut-être ce qu’il faut pour devenir un pro de la chute libre, capable de sauter en parachute en solo sans transpirer ?

Beaucoup partagent cette envie, mais hésitent à se lancer.

Et je comprends !

Sans préparation ou info, l’idée de sauter peut être aussi effrayante qu’une montagne russe (et moins confortable). Mais rassurez-vous, vous pouvez vivre ce moment incroyable de liberté et de pure adrénaline.

Oui, c’est possible !

Je suis Gwen, moniteur de parachutisme (stage PAC) à Pujaut, et je suis là pour vous. Mon but ? Vous aider à transformer ce rêve de vol en une réalité palpitante.

Avec moi, vous allez tout comprendre sur l’obtention de votre licence de parachutisme, des prérequis aux formations.

Alors, prêt à décoller ?

👉 Je saute vers l’aventure avec un parachute dès maintenant

Comment commencer le parachutisme ?

Alors, vous voulez vous lancer dans le parachutisme ? Génial !

Mais avant de plonger dans le vide, vous devez avoir au moins 15 ans pour le saut en tandem et 18 ans pour le stage PAC. C’est une question de maturité et de sécurité.

Ensuite, il vous faut un certificat médical pour vérifier que vous êtes en pleine forme.

Ce n’est pas négociable.

Vous devez aussi respecter le poids limite, généralement autour de 100 kg. Ces étapes sont là pour s’assurer que tout se passe bien une fois en l’air !

Pas de maladies graves, pas de soucis cardiaques, et surtout, pas de vertige incontrôlé ! Le but, c’est de s’amuser en toute sécurité. En gros, il suffit d’être en bonne santé et prêt à vivre une expérience de folie.

Allez, courage !

👉 À lire aussi : Comment surmonter la peur des hauteurs ?

On peut commencer par un saut en tandem… mais ce n’est pas obligatoire !

Votre premier saut en parachute, c’est comme plonger dans un rêve éveillé, mais en mieux. Vous commencez par un briefing rapide pour apprendre les bases, comme la position de chute et comment atterrir.

Ensuite, vous êtes prêt !

Une fois dans l’avion, c’est le moment de la montée : 4 000 mètres en quelques minutes. Attaché à votre moniteur, vous êtes prêt pour une chute libre de 45 secondes.

Sensations fortes garanties !

Ensuite, le parachute s’ouvre, et là, vous profitez de la vue pendant 5 à 7 minutes. C’est calme, c’est beau, et c’est l’occasion de réaliser que vous l’avez fait !

Après, retour sur terre avec le sourire aux lèvres et peut-être un peu de vertige, mais le bon, celui qui donne envie de recommencer !

Ou directement par un stage de progression accompagnée en chute libre (PAC)

Le stage PAC, c’est l’école pour devenir un pro du parachutisme. Vous commencez avec quelques heures de théorie et des exercices au sol (vous allez en avoir besoin !).

Ensuite, place aux choses sérieuses : 6 sauts avec des instructeurs qui vous filment pour que vous puissiez progresser.

Chaque saut vous donne un peu plus d’autonomie.

Vous passez progressivement de deux moniteurs lors du premier saut en parachute à un seul dès le deuxième saut, jusqu’à sauter seul à votre 7ème saut (mais supervisé). Ça fait un peu peur, mais ça en vaut la peine !

Le meilleur ?

Tout le matériel est fourni, et vous repartez avec les vidéos de vos exploits. Une fois terminé, votre licence de parachutisme est validée. Vous êtes prêt pour obtenir de nouveaux brevets comme le brevet A qui vous donnera encore plus d’autonomie.

Et là, c’est la liberté, à vous les cieux !

Je vous ai mis ci-dessous une vidéo d’un saut du stage PAC (histoire de vous mettre l’eau à la bouche) :

👉 Ça m’a donné envie, je veux en savoir plus sur le stage PAC

C’est quoi, le brevet A ?

Le brevet A, c’est le Saint-Graal de la licence de parachutisme pour sauter en solo.

Une fois que vous l’avez, vous pouvez sauter sans moniteur partout dans le monde et vous lancer dans le vol relatif ou le freefly. En gros, c’est l’autonomie totale (et la fin des regards inquisiteurs de votre instructeur).

Ce brevet est reconnu partout dans le monde, donc vous pouvez voyager et sauter où bon vous semble. C’est le début d’une grande aventure.

À vous les nouvelles sensations et les paysages incroyables !

Le brevet A ouvre aussi la voie vers des niveaux plus avancés de licence de parachutisme, comme les brevets B et C.

Vous serez alors libre comme l’air, et c’est le cas de le dire !

👉 À lire aussi : Sports extrêmes : risquer sa vie aurait des avantages !

Pour aller (encore) plus loin : les brevets B et C

Avec le brevet B, vous commencez à être un parachutiste sérieux.

Après environ 22 sauts, vous pouvez améliorer votre technique et essayer de nouveaux types de sauts. C’est le moment de jouer dans la cour des grands !

Et le brevet C ? C’est pour la licence de parachutisme pour les pros.

Vous avez besoin d’au moins 200 sauts. Là, on parle de grandes formations, de compétitions, et même de leadership. Les autres vous regardent avec respect (ou un peu de jalousie).

Ces brevets vous permettent de vous dépasser et de découvrir de nouvelles sensations. Plus vous progressez, plus vous devenez un expert du ciel.

Qui sait, peut-être que la prochaine étape sera le parachutisme professionnel !

Et Volomax, dans tout ça ?

Faire son stage PAC chez Volomax à Pujaut, c’est tout simplement génial.

Vous avez un simulateur de chute libre exclusif, parfait pour se familiariser avec les sensations (et s’amuser dès 5 ans).

Ensuite, les formations sont sur mesure. Chaque saut est filmé pour que vous progressiez rapidement (et voyez vos erreurs, mais surtout vos réussites !).

Et le cadre est magnifique. Vous sautez au-dessus des vignes avec des vues sur le Mont Ventoux et la Camargue. Que demander de plus ?

Flexibilité et variété, bien sûr !

C’est pourquoi Volomax propose plusieurs formules, y compris avec simulateur, pour s’adapter à vos objectifs.

En plus, l’équipe est passionnée et vous êtes entre de bonnes mains. Et vous avez même la possibilité de loger sur place (donc immersion totale dans l’univers du parachutisme).

Bref, Volomax, c’est plus qu’un simple saut, c’est une expérience inoubliable !

👉 Ça m’intéresse, j’ai plein de questions à poser à Gwen