Les 7 règles de base pour survivre à votre premier saut en parachute

Premier saut en parachute | Volomax

Je dois vous avouer que sauter en parachute, c’est un moment où toutes vos émotions sont mises à rude épreuve.

Vous avez un peu peur des hauteurs ? Vous vous demandez ce qui vous attend là-haut ? C’est normal ! Qui ne se poserait pas ce genre de questions ?

Par contre, en tant que moniteur de stage PAC à Pujaut, je vous le dis : affronter ces peurs fait partie du défi. Environ un tiers des personnes disent que la peur les empêche de vivre leurs rêves. Avec le parachutisme, c’est justement l’occasion de dépasser cette barrière !

Une fois que vous aurez sauté, vous allez ressentir une fierté incroyable. Et votre confiance en vous va augmenter considérablement.

Et puis, le moment où vous franchissez la porte de l’avion, c’est là que tout se joue. Ce saut, c’est le passage ultime. Après, en touchant le sol, vous vous sentirez invincible. C’est un peu comme si vous aviez gravi l’Everest !

Franchement, après avoir sauté, tout ce qui paraissait difficile avant, que ce soit dans votre travail ou dans votre vie personnelle, vous semblera bien plus accessible. Bref, un bon stage de parachutisme change tout, et pas seulement dans les airs.

👉 Je réserve tout de suite mon saut en parachute avec Volomax

Il faut être bien habillé pour sauter

Ce n’est pas un défilé de mode, je vous rassure, mais il faut être à l’aise dans ses chaussures (littéralement).

Finis les vêtements trop serrés ou à la mode, ici on parle de confort. Mettez quelque chose de large, comme des leggings, un survêtement, un vêtement qui vous laisse bouger facilement. Il ne faut surtout pas que vos habits se coincent dans l’équipement, cela pourrait vite devenir problématique. Et ne me parlez pas des jeans trop serrés

Les chaussures ? Vous optez pour des baskets bien lacées. On n’a pas envie de voir une chaussure voler en plein ciel, n’est-ce pas ? (Et oui, c’est déjà arrivé…).

Et si vous avez les cheveux longs, n’oubliez pas de les attacher. Parce qu’avoir une mèche qui vous fouette le visage à 200 km/h, ce n’est pas idéal pour apprécier la vue.

Ah, et à 4000 mètres d’altitude, il fait un peu frais, donc prenez un petit sweat ou une veste légère pour ne pas trembler de froid.

La nuit avant le saut ? Dormez !

Soyons honnêtes, la veille de votre saut, il faut dormir. Pas parce que c’est une règle écrite quelque part, mais parce que c’est simplement du bon sens.

Vous allez sauter d’un avion, cela demande un peu de concentration, non ? Sans un bon sommeil, c’est à ce moment que les erreurs commencent. Et je ne veux pas être alarmiste, mais dans les airs, une petite erreur peut vite devenir un gros problème. Donc, dormez !

Le manque de sommeil vous rend moins réactif, moins alerte. Dans un stage de parachutisme, cela se traduit par des consignes mal suivies, des gestes approximatifs, et bref, des difficultés évitables.

Franchement, une bonne nuit de sommeil, cela aide aussi à gérer le stress. Parce que oui, cela peut être stressant de se dire qu’on va sauter dans le vide. Mais bien reposé, c’est plus facile à gérer.

Et en plus, un esprit fatigué ne savoure pas autant les sensations. Vous ne voulez pas manquer l’adrénaline qui vous envahit ou la sensation de chute libre juste parce que vous êtes trop épuisé pour en profiter. Donc, on dort bien, et on arrive frais et disponible pour sauter !

Manger juste avant de sauter, c’est une affaire délicate

Alors, parlons alimentation. Parce que oui, ce que vous mangez avant de sauter en parachute, cela compte.

Évitez le petit-déjeuner copieux avec du bacon bien gras ou des œufs trop lourds. Optez plutôt pour un repas léger, facile à digérer. Des fruits, du pain complet, ce genre d’aliments.

Pourquoi ? Parce que pendant la chute libre, si vous avez le ventre trop plein, croyez-moi, vous allez le regretter. (Et je parle d’expérience…).

Essayez de manger une petite demi-heure avant le saut, juste le temps que la digestion fasse son travail. Et buvez de l’eau, mais pas trop ! Parce que c’est toujours un peu gênant d’avoir une envie pressante quand on est à 4000 mètres du sol.

Ah, et l’alcool ? On oublie. Non seulement c’est interdit, mais en plus, cela vous donne des nausées. Alors, tenez-vous en à l’eau et à un bon encas léger. Vous me remercierez plus tard.

Les consignes, ce n’est pas pour faire joli

Je vais être direct : les consignes avant de sauter, c’est la base. Quand on vous briefe au sol, ce n’est pas juste pour passer le temps. Non, non, c’est pour vous assurer que tout se passe bien là-haut.

Le parachutisme, c’est un sport extrêmement sécurisé, mais il ne faut pas se la jouer en solo. Écoutez attentivement ce que votre instructeur vous dit, parce que c’est lui qui vous guide.

En stage PAC, la plupart des problèmes arrivent quand les gens ne suivent pas les instructions. Votre instructeur vous dira comment vous positionner en chute libre, comment ouvrir le parachute, tout. Si vous ne comprenez pas bien une consigne, demandez ! Ce n’est pas le moment de faire preuve de timidité.

La stabilité en chute libre, cela ne s’invente pas. Plus vous êtes à l’écoute, plus vous profitez. Et croyez-moi, revenir sur terre avec un grand sourire, c’est la meilleure sensation.

▶ À lire aussi : Les questions les plus fréquentes qu’on me pose avant de sauter en parachute

La tête doit être prête pour sauter

Vous savez ce qui compte autant que le reste dans un stage de parachutisme ? La préparation mentale.

C’est simple : vous devez être bien dans votre esprit avant de monter dans cet avion. Visualiser chaque étape du saut peut déjà vous aider à être moins stressé. Vous saurez à quoi vous attendre, et soudain, l’anxiété diminue.

La respiration, c’est votre meilleure alliée. Inspirez, expirez, et vous verrez que l’attente avant de monter dans l’avion est bien plus facile à gérer. Parce que oui, c’est souvent à ce moment-là que la tension monte.

En utilisant ces techniques, vous restez calme, concentré, et prêt à vivre cette aventure pleinement.

Et puis, petit secret : les sensations de peur et d’excitation sont très proches. Transformez cette appréhension en énergie positive et profitez pleinement. Parce qu’une fois dans les airs, vous ne penserez plus qu’à une chose : quel plaisir !

▶ À lire aussi : Comment se préparer mentalement pour le stage PAC