19 questions pour comprendre et bien choisir votre stage PAC

stage PAC

Chez Volomax, le but du stage PAC, c’est de vous donner les ailes pour vivre une chute libre mémorable, mais sans improviser. On parle d’un sport extrême, donc chaque saut est entouré de règles précises, que ce soit en termes de sécurité, de formation, d’accompagnement.

Volomax, ce n’est pas juste un centre de parachutisme, c’est une équipe qui encadre chaque étape : de la première formation au sol, à l’équipement, jusqu’au moment où vous prendrez votre envol, entouré de pros qui en ont vu des milliers.

Bref, un stage PAC à Pujaut soigné aux petits oignons.

Alors oui, il y a des critères d’âge et de poids, mais le plus important, c’est l’encadrement minutieux, la préparation mentale, et la sensation unique de sauter en confiance, parce que tout est pensé pour vous permettre de savourer l’adrénaline sans (trop) de stress.

Bref, Volomax ne vous lâche pas dans le vide, et on vous y emmène avec passion et précision.

1. Quelles sont les conditions d’âge et de poids pour le stage PAC ?

Pour participer à un stage PAC, l’âge minimum est 15 ans. Les mineurs doivent venir avec une autorisation parentale signée, et autant vous dire que les centres y tiennent.

Ensuite, côté poids, c’est du sérieux : la limite varie entre 90 et 95 kg selon les centres. Pourquoi cette restriction ?

Le matériel est calibré pour une sécurité optimale, et les parachutes, eux, ne font pas dans la demi-mesure. Au-delà du poids maximum, il y a un risque que l’atterrissage soit un peu trop « sportif » et pas aussi doux qu’on l’espère.

Et attention, si vous avez plus de 50 ans, certains centres demandent de valider votre participation avant inscription. C’est juste une précaution pour vérifier que tout est OK côté santé et éviter les mauvaises surprises.

Bref, avec la bonne condition physique, le certificat médical en poche, et les conditions d’âge et de poids respectées, il ne vous reste qu’à faire le grand saut… littéralement !

>>> À lire également : Stage de parachutisme : êtes-vous vraiment prêt physiquement ?

À savoir

Chez Volomax, si vous avez 15 ans (avec l’accord des parents) et que vous respectez la limite de poids de 90 kg, vous êtes bon pour le grand saut.

Au-delà, on joue la carte de la sécurité : un certificat médical est obligatoire pour les plus de 50 ans, histoire de s’assurer que tout roule niveau santé avant d’aller flirter avec les nuages​.

2. Quel certificat médical est requis pour le stage PAC ?

Avant de jouer les James Bond en herbe, il va falloir prouver à l’équipe que vous êtes taillé pour le grand frisson. Et oui, un saut en parachute, ça ne s’improvise pas, surtout côté santé.

Alors, qu’est-ce qu’il vous faut ? Un certificat médical de non contre-indication à la pratique du parachutisme, signé par votre médecin traitant ou un spécialiste en médecine du sport.

Ce petit bout de papier doit attester que votre cœur est assez costaud pour supporter l’adrénaline et que vous n’avez pas de problèmes d’équilibre, d’asthme sévère, ou de souci cardiaque.

Le but ? Éviter toute mauvaise surprise à 4000 mètres d’altitude.

Le certificat est valable un an, alors autant dire qu’il faut penser à le renouveler si vous avez l’âme d’un parachutiste régulier. Et pour les mineurs, un passage obligatoire par un médecin du sport ou un généraliste s’impose, accompagné de papa, maman ou d’une autorisation écrite.

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3. Combien de temps dure le stage PAC ?

Alors, combien de temps faut-il pour passer de novice à parachutiste autonome ? Comptez en général entre 4 et 6 jours bien intensifs.

Tout commence par une journée au sol, où l’on vous apprend les bases : position en chute libre, ouverture du parachute, gestion de l’atterrissage. Oui, ça paraît long, mais quand vous serez à 4000 mètres, vous serez bien content d’avoir tout compris.

Ensuite, place aux choses sérieuses : six sauts minimum avec deux moniteurs pour vous guider. Au fil des sauts, vous passerez de deux instructeurs à un, jusqu’à être assez confiant pour sauter en solo.

Chaque saut est une leçon en soi, avec debriefs après chaque descente.

Au final, en moins d’une semaine, vous serez capable de vous élancer en autonomie. Un concentré d’adrénaline et de techniques pour ceux qui veulent vraiment se prendre au jeu… et au ciel.

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À savoir

Avec Volomax, trois à quatre jours intensifs vous séparent de l’autonomie complète. Entre les formations théoriques et trois sauts par jour, l’objectif est clair : progresser à la vitesse de la chute libre !

Pour ceux qui viennent de loin, Pujaut propose des hébergements pratiques (chambres ou camping).

Premier saut en parachute | Volomax

4. Est-ce qu’un saut d’initiation est obligatoire pour un stage PAC ?

Non, un saut d’initiation n’est pas obligatoire avant de se lancer dans un stage PAC. Mais c’est chaudement recommandé, surtout si c’est votre première fois en chute libre. Le saut d’initiation, c’est un peu comme une « répétition générale » avant d’attaquer le gros morceau.

En gros, vous êtes accompagné par deux moniteurs en chute libre, qui vous guident de A à Z.

Vous découvrez les sensations, vous apprenez à stabiliser votre corps dans les airs, et surtout, vous vous familiarisez avec l’ouverture du parachute à quelques milliers de mètres du sol.

Ça permet d’évaluer si le parachutisme est vraiment pour vous, sans vous engager dans tout un stage direct.

Après ça, si vous sentez que vous êtes prêt à affronter le stage PAC, vous aurez déjà un petit bagage de sensations et de réflexes. Mais si vous êtes du genre à foncer dans le vide sans filet, rien ne vous oblige à passer par cette étape.

Au final, c’est vous qui décidez du plongeon… ou pas.

>>> À lire également : Les questions les plus fréquentes qu’on me pose avant de sauter en parachute

5. Quels équipements sont fournis pour le stage PAC ?

Quand vous débarquez pour un saut, pas besoin de vous ruiner en équipement : tout le nécessaire est déjà fourni. Et heureusement, parce que le matériel de parachutisme, c’est du sérieux !

Voici ce que vous trouverez sur place :

  • La combinaison, qui vous protège du vent et des éventuels frottements. Vous enfilez ça, et vous avez déjà la moitié du look parachutiste.
  • Le casque (obligatoire), intégral ou un plus léger, qui vous protège la tête et réduit l’impact du vent.
  • Les lunettes, incontournables pour éviter de pleurer des litres d’eau face à la vitesse en chute libre. On vous donne des lunettes adaptées, histoire de garder les yeux bien ouverts à 200 km/h.
  • Le harnais et le parachute, parachute principal et de secours, et un altimètre pour surveiller l’altitude. Tout est vérifié et réglé par les pros avant le saut.

En résumé : tout est prévu pour que vous soyez focus sur l’essentiel, à savoir profiter de votre chute libre en toute sécurité. Vous n’avez plus qu’à respirer… et sauter.

À savoir

Vous avez besoin de quoi pour sauter ? Absolument rien, car Volomax s’occupe de tout : combinaison, casque, lunettes, altimètre et même les vidéos de vos sauts.

Du matos vérifié et entretenu aux petits oignons pour que votre seule préoccupation soit de respirer et… sauter !​

6. Quel est le prix moyen ?

Pour un stage PAC, le grand frisson a un prix, et il faut compter entre 1200 et 1500 euros en moyenne.

Oui, c’est un investissement, mais dites-vous que vous payez pour des sensations uniques et une formation qui vous rend autonome dans les airs.

Ce tarif inclut généralement tout : les six sauts accompagnés de moniteurs, l’équipement complet (parachute, casque, combinaison, altimètre), les cours théoriques et pratiques au sol, et bien sûr les debriefings après chaque saut.

Certains centres incluent même une vidéo de votre premier saut dans le package, histoire d’immortaliser l’adrénaline pure.

Et si vous hésitez, un saut d’initiation (pour tester sans faire le stage complet) vous coûtera autour de 250 à 350 euros. Parfait pour voir si vous êtes fait pour ça sans vous engager à fond.

10 questions sur le saut en parachute | Volomax

À savoir

Chez Volomax, le stage PAC se situe entre 1365 et 1744 euros, selon les options. Ici, tout est inclus : de l’équipement complet aux vidéos de vos sauts.

Et pour ceux qui veulent une prépa 5 étoiles, une option simulateur de chute libre est aussi disponible, idéale pour dompter la posture avant le grand saut.

7. Quelle est la flexibilité des horaires pour un stage PAC ?

La flexibilité des horaires pour un stage PAC dépend surtout du centre de parachutisme et des conditions météo (oui, le vent et les nuages ont leur mot à dire quand on saute d’un avion !).

En général, les stages s’étalent sur plusieurs jours consécutifs, mais certains centres proposent des formules « week-end » ou permettent d’échelonner les sauts sur plusieurs semaines, histoire de s’adapter aux agendas chargés.

Si vous avez des contraintes spécifiques, la plupart des centres feront de leur mieux pour arranger ça. Par contre, les sauts sont souvent programmés en début de matinée, quand les conditions sont plus stables.

En cas de météo capricieuse, il peut y avoir des reports, mais le centre s’organise pour éviter que vous ne passiez la journée à attendre.

En bref, c’est assez flexible… dans la limite du raisonnable !

8. Quel est le programme type d’un stage PAC ?

Le programme type d’un stage PAC, c’est un condensé de sensations et de technique, avec un objectif : vous rendre autonome en chute libre. Voici à quoi ressemble ce parcours initiatique vers le saut en solo !

Jour 1 : Formation au sol

On commence doucement, mais c’est une journée intense ! Vous apprenez tout ce qu’il faut savoir : position en chute libre, ouverture du parachute, maniement des commandes, et procédures d’urgence. Bref, toutes les bases pour ne pas être pris au dépourvu à 4000 mètres.

Jour 2 à 6 : Les sauts accompagnés

Place à la pratique ! Vous effectuez entre 6 et 7 sauts, chacun guidé par deux moniteurs. Au début, ils s’assurent que vous maîtrisez la chute libre, la position et l’ouverture.

Au fil des sauts, ils vous laissent plus de liberté pour que vous deveniez autonome. Chaque saut est suivi d’un débriefing pour corriger les petits défauts et améliorer vos sensations.

Le saut final en solo

Si tout s’est bien passé, vous terminez en beauté avec un saut où vous êtes enfin seul dans les airs. Un moment unique où l’adrénaline est à son comble, mais où vous êtes prêt !

Le programme peut s’adapter en fonction de votre progression, mais une chose est sûre : à la fin de votre stage PAC, vous serez capable de sauter sans aide.

9. Y a-t-il un suivi vidéo pour le stage PAC ?

La plupart des centres de parachutisme proposent un enregistrement vidéo de votre stage PAC, et franchement, ça vaut le détour.

Dès le premier saut, vous avez souvent un vidéaste pro qui saute avec vous, histoire de capturer vos premières secondes de chute libre, vos réactions, et même votre « grande entrée » dans le vide.

Ces vidéos permettent de revoir vos performances, de comprendre vos postures, et d’analyser les points à améliorer avec les moniteurs. C’est non seulement un excellent outil pédagogique, mais aussi un souvenir inoubliable que vous pourrez montrer à vos amis pour prouver que, oui, vous avez sauté d’un avion !

En général, ce suivi vidéo est en option, donc vérifiez bien les offres de chaque centre. Certaines formations PAC incluent une vidéo de votre saut final, d’autres proposent tout un montage de vos moments clés du stage.

10. Quelles sont les consignes vestimentaires pour un stage PAC ?

Pour un saut en parachute, côté tenue, on privilégie le confort et la praticité. Voici les consignes vestimentaires pour que tout se passe au mieux :

Habillez-vous chaudement mais sans surcharger

En altitude, il fait plus frais, même en plein été. Prévoyez un t-shirt à manches longues et un pull léger, idéalement ajusté, pour ne pas vous retrouver avec des vêtements qui flottent dans tous les sens.

Pas de vêtements trop amples

Les combinaisons fournies par le centre doivent passer par-dessus, donc évitez tout ce qui est trop large ou encombrant. L’idée, c’est de ne pas se retrouver avec des manches ou des pantalons qui se prennent dans le harnais ou flottent avec le vent.

Des chaussures fermées, type baskets

Oubliez les sandales, talons ou bottes massives ! Des baskets bien serrées, sans crochets, feront parfaitement l’affaire. Vous devez pouvoir bouger facilement sans risquer de perdre vos chaussures en chute libre.

En résumé : restez confortable, oubliez le style, et laissez le reste au centre. De toute façon, une fois la combinaison enfilée, c’est l’adrénaline du stage PAC qui fera le look !

11. Quelles mesures de sécurité sont en place pour un stage PAC ?

Le parachutisme, ce n’est pas pour les âmes sensibles, mais rassurez-vous : côté sécurité, c’est du béton armé.

D’abord, avant même de grimper dans l’avion pour un stage PAC, il y a la fameuse formation au sol.

Pendant plusieurs heures, on vous martèle les gestes à faire, les postures à adopter et comment réagir en cas d’urgence. On vous apprend même à vous débrouiller si le parachute principal décide de faire sa diva.

Ensuite, chaque équipement est vérifié dans les moindres détails. Les parachutes sont équipés d’un déclencheur automatique : en gros, si vous oubliez de tirer la poignée (ou si vous paniquez, on ne vous juge pas), le parachute s’ouvre tout seul à une certaine altitude. Un ange gardien en version tech.

Et puis, pour les premiers sauts, vous n’êtes jamais seul. Deux instructeurs vous accompagnent dans les airs, prêts à intervenir au moindre faux mouvement. En bas, un autre instructeur vous guide par radio jusqu’à l’atterrissage.

Bref, le stage PAC, c’est du sérieux. On ne vous lâche pas dans le vide sans filet – enfin, si, mais avec un maximum de précautions.

À savoir

La sécurité, chez Volomax, c’est un sujet avec lequel on ne plaisante pas. Formation au sol, équipements vérifiés par des pros et un moniteur collé à vous pour chaque saut.

Si ça ne suffit pas, Volomax propose aussi une option simulateur pour se familiariser avec les gestes techniques au sol avant d’aller voir les nuages de plus près.

Résultat ? Vous sautez avec un max de confiance, bien encadré de bout en bout​.

12. Comment se préparer mentalement pour le stage PAC ?

Se préparer mentalement pour le stage PAC | Volomax

Avant toute chose, visualisez le saut. Imaginez chaque étape, de l’avion jusqu’à l’atterrissage. Cela vous aide à démystifier l’inconnu et à vous sentir en terrain presque familier.

Ensuite, concentrez-vous sur la respiration. Oui, ça paraît simpliste, mais une bonne respiration calme le système nerveux. Inspirez profondément, expirez lentement, comme un pro du yoga. Ça aide à court-circuiter le stress.

Rappelez-vous aussi que la peur, c’est normal. Plutôt que d’essayer de la bloquer, acceptez-la. Dites-vous que même les plus aguerris ressentent ce pic d’adrénaline, c’est ça qui rend le saut unique.

Enfin, fiez-vous à vos instructeurs. Ils sont là pour vous guider et anticiper chaque situation. Bref, faites confiance à votre préparation, et vous verrez : une fois dans l’air, c’est la pure liberté.

>>> À lire également : Comment se préparer mentalement pour le stage PAC ?

13. Quelle autonomie après le stage PAC ?

Après un stage PAC, vous gagnez une sacrée liberté ! Vous aurez appris à gérer votre saut en solo, ce qui veut dire que vous pouvez sauter sans avoir besoin d’un instructeur à vos côtés. Enfin, presque.

Une fois le stage terminé, vous aurez acquis une autonomie de base, ce qui vous permet de sauter seul, mais pas de n’importe quelle hauteur ni dans n’importe quelles conditions.

Vous devrez d’abord atteindre un certain nombre de sauts (souvent une trentaine) et passer des niveaux progressifs de maîtrise pour gagner en indépendance totale et accéder à de nouvelles altitudes.

Mais la vraie autonomie, celle où vous pouvez louer votre propre équipement et sauter quand vous le voulez (ou presque), vient avec la licence. Et pour ça, il faut un minimum d’expérience et réussir un examen théorique et pratique.

En gros, après le stage, vous êtes sur la bonne voie pour sauter seul, mais il y a encore quelques étapes pour devenir un vrai pro du ciel.

14. Peut-on progresser vers des brevets supplémentaires après le stage PAC ?

Absolument ! Une fois le stage PAC en poche, les options pour monter en compétence et diversifier vos expériences de saut sont nombreuses.

Le premier objectif, c’est souvent le brevet A, qui officialise votre autonomie complète en solo. Une trentaine de sauts, quelques cours théoriques et un examen plus tard, vous voilà certifié pour sauter sans supervision directe.

Ensuite, il y a le brevet B, qui ouvre la porte aux sauts en groupe et aux premières formations de chute libre avancées. Vous y apprenez les bases de la coordination en formation, indispensable pour faire des sauts à plusieurs sans chaos aérien.

Pour les plus ambitieux, le brevet C vous emmène vers des techniques avancées comme les sauts de grande hauteur, les vols de précision, voire le wingsuit. Et pour finir, le brevet D, la consécration : il permet de guider les débutants et de commencer à former d’autres passionnés.

Chaque brevet est une progression en soi, un cran de liberté en plus dans le monde du parachutisme.

>>> À lire aussi : Combien de temps faut-il pour sauter en parachute en solo ?

15. Les proches peuvent-ils assister à un stage PAC ?

Bien sûr ! La plupart des centres de parachutisme adorent avoir un petit public pour encourager les sauteurs. Vos proches peuvent venir, s’installer dans la zone d’accueil (généralement équipée pour observer), et profiter du spectacle depuis le sol.

Certains centres offrent même des plateformes d’observation où on voit les sauteurs se préparer, monter dans l’avion et, bien sûr, revenir sur terre avec un grand sourire.

Bon, on va pas se mentir : la patience est de rigueur, car entre la préparation, la montée en altitude et le saut, il peut y avoir un peu d’attente. Mais pour eux, voir ce moment d’adrénaline pure, c’est souvent aussi palpitant que pour vous.

Et pour immortaliser l’instant, certains centres proposent des options vidéo où un cameraman pro vous suit en chute libre. Parfait pour que vos proches puissent revivre le saut avec vous – ou se faire un peu plus de frissons depuis leur canapé !

16. Faut-il une autorisation spéciale pour filmer soi-même pendant un stage PAC ?

Pour les débutants, la réponse est claire : c’est interdit. Tenir une caméra tout en gérant sa chute libre, c’est un risque supplémentaire que les centres de parachutisme ne prennent pas à la légère.

Imaginez devoir gérer votre stabilisation, l’ouverture du parachute ET cadrer correctement… autant dire que ça ferait beaucoup !

En général, il faut atteindre un niveau avancé (souvent autour de 100 sauts d’expérience) et obtenir une autorisation spéciale du centre.

Avec l’expérience, vous pouvez alors utiliser une caméra fixée sur votre casque, mais uniquement si vous avez appris à le faire sans compromettre votre sécurité ni celle des autres.

17. Quelles sont les possibilités géographiques en France pour un stage PAC ?

Vous avez de quoi varier les panoramas à chaque saut. Les centres de parachutisme sont répartis un peu partout, et chaque région a son petit truc en plus.

Les Alpes, par exemple, sont un incontournable pour des vues imprenables sur les montagnes enneigées. Chamonix et Gap-Tallard sont deux spots qui offrent des sauts à couper le souffle, avec le Mont-Blanc en toile de fond. Plutôt sympa, non ?

Pour les amoureux de l’océan, direction la côte Atlantique ou la Méditerranée ! Arcachon et La Rochelle permettent de sauter avec vue sur l’océan et les dunes, tandis que dans le sud, Le Lavandou offre une descente avec vue sur la Méditerranée. Un vrai rêve de sauter vers le bleu de la mer.

Enfin, pour ceux qui préfèrent les terres intérieures, la Dordogne et la Bourgogne ne sont pas en reste, avec leurs paysages verdoyants et leurs châteaux en fond.

Et bien sûr, il y a aussi Péronne dans les Hauts-de-France pour une immersion au-dessus des plaines françaises.

À savoir

Chez Volomax, tout se passe à Pujaut, petit coin de paradis juste à côté d’Avignon. Un cadre idyllique pour faire le grand saut, entre ciel bleu et vue imprenable sur le Mont Ventoux.

18. Y a-t-il des contre-indications spécifiques avant de s’inscrire à un stage PAC ?

Oui, il y a quelques contre-indications à respecter sérieusement avant de sauter d’un avion.

Premièrement, côté santé cardiovasculaire : si vous avez des problèmes cardiaques, de l’hypertension non contrôlée ou des antécédents de troubles graves du rythme cardiaque, le saut en parachute est déconseillé. C’est intense pour le cœur, donc sécurité d’abord.

Les troubles neurologiques graves, comme l’épilepsie, peuvent aussi poser problème, car une crise en chute libre serait évidemment très risquée. Il en va de même pour les problèmes respiratoires sévères, type asthme non maîtrisé.

Ensuite, le poids peut aussi être une limite. En général, les centres imposent une limite de 90 à 100 kg, mais cela peut varier selon les équipements et la politique du centre.

Enfin, les problèmes articulaires, notamment aux genoux, au dos ou aux épaules, peuvent être une autre contre-indication. L’atterrissage peut être brutal, surtout pour les débutants.

Pour finir, une bonne condition physique est essentielle, mais le centre vous demandera un certificat médical, histoire de s’assurer que tout est en ordre avant de vous envoyer dans les airs.

19. Quels sont les risques à prendre en compte pour un stage PAC ?

Le saut en parachute, aussi bien encadré soit-il, reste un sport extrême avec quelques risques réels. Il faut les connaître, histoire de se lancer en toute conscience.

Premier risque : le matériel. Même si chaque parachute est vérifié plusieurs fois et équipé d’un déclencheur automatique, il y a toujours une infime chance de dysfonctionnement. Heureusement, les doubles parachutes sont là pour limiter ce danger.

Si le principal ne s’ouvre pas, le parachute de secours prend le relais.

Ensuite, il y a le facteur humain. En chute libre, la moindre erreur de posture ou de geste peut compliquer la descente, surtout pour un débutant. D’où l’importance de bien suivre les consignes et de se fier aux instructeurs.

Au début, vous ne sautez jamais seul, donc ce risque est réduit au maximum.

Enfin, il y a l’atterrissage. C’est souvent le moment le plus délicat : une mauvaise réception peut entraîner des blessures, surtout aux jambes et aux chevilles. Mais là encore, la formation est là pour vous apprendre à amortir correctement.

En gros, oui, il y a des risques, mais chaque étape est pensée pour les anticiper et vous permettre de savourer l’expérience sans (trop) de soucis.

>>> À lire également : Qu’est-ce qu’on fait, quand le parachute ne s’ouvre pas ?

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